Stiamo cercando di realizzare l'Unione europea, ma ancora le differenze fra i diversi paesi somo enormi. Speriamo di ridurre al più presto le ineguaglianze soprattutto con il contributo dei giovani che, più degli adulti, si sentono cittadini del mondo.

De nos jours, l'engagement européen de l'Italie semble irréversible, malgré quelques scepticismes de ceux qui souhaitent un plus grand contrôle démocratique et une plus grande impulsion politique des gouvernements sur les institutions européennes. Les jeunes semblent les plus attachés au développement d'une Europe unie : ils semblent porter leur regard très loin.

L'Union économique déjà presque réalisée est-elle capable de réduire les différences des nations et surtout les inégalités ?
Pour combattre les inégalités on cherche une langue officielle que tout le monde doit parler pour rendre plus facile la communication ; il paraît que l'anglais l'emporte sur toutes les autres.

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L'abolition des frontières a rendu plus facile les déplacements d'un pays à l'autre et la possibilité pour les jeunes d'étudier à l'étranger, mais aussi de trouver un travail.
Presque tous les gouvernements sont en train de réaliser des changements dans les institutions pour donner aux jeunes une éducation plus "européenne".
Mais nous, nous vivons en Sicile, une île au centre de la Méditerranée, qui a été longtemps le centre de la culture mondiale, et nous sommes actuellement très proches de cultures qui ne font pas partie de l'Europe qui en même temps sont liés à nous par de vieilles traditions ; nous ne comprenons pas bien si nous sommes plus proches de la Suède ou du Maroc.

Mais nous savons très bien qu'être amis de l'une et de l'autre est et restera toujours notre ambition. Nous croyons que notre rôle est celui de rapprocher ces cultures différentes car nous sommes le sud des pays développés, mais nous sommes aussi le nord des pays en voie de développement.

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